Paysages
Au fil de ses 242 kilomètres, le canal de Bourgogne traverse deux départements et des paysages variés, à l’image de la Bourgogne elle-même, et bien loin des clichés qu’on peut en avoir : de la vallée de l’Ouche à celle de l’Armançon, de la plaine de la Saône à celle de Migennes, entre villes et campagne.
De la majeure partie du tracé se dégage une impression de sérénité liée à un univers bucolique. Le ressenti actuel est-il bien conforme à la réalité historique ?
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1
Voir par exemple : De VARINE Béatrice, Villages de la vallée de l’Ouche aux XVIIe et XVIIIe siècles, la seigneurie de Marigny, Roanne : Horvath, 1979.
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2
BRUYÈRE L., « Plan du village de ***, projet idéal », Frontispice du XIe recueil de ses études relatives à l’art des constructions, Paris, 1823-1828. In Un canal… des canaux… : Catalogue d’exposition, Paris, du 7 mars au 8 juin 1986. Paris, Caisse Nationale des Monuments historiques et des Sites : Picard, 1986.
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3
Plan du bassin de 100 toises de diamètre à faire à la tête du canal pour servir de port, 1782, Archives nationales, F14 10089.2.64.
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6
« Entrée du canal en Saône à Laroche-Migennes », Archives nationales, F14 10089 (3-4) 31 et 32.
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7
Les plantations d’alignement se sont développées sous Henri II en 1552. Elles sont faites et entretenues par les particuliers pour alimenter en ormes les fabriques d’armement. Une loi impose aux riverains des « grands chemins » royaux de planter et entretenir les arbres selon des règles plus précises. Les plantations d’alignement appartiennent au seigneur jusqu’à la Révolution, puis aux riverains avec encadrement de l’Etat. In Un canal… des canaux… : Catalogue d’exposition, Paris, du 7 mars au 8 juin 1986. Paris, Caisse Nationale des Monuments historiques et des Sites : Picard, 1986, p. 249
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9
P.L.M. : Paris-Lyon- Méditerranée. Archives départementales de la Côte-d’Or, XIII S 1 a / 58.